Les idées écologiques pour faire une maison écologique

En matière de construction, faire une maison écologique est un premier pas qui mène vers un monde sain. Si vous avez envisagé de construire une nouvelle maison, vous pouvez installer tout matériel économique et écologique chez vous. L’isolation est un moyen efficace pour économiser de l’énergie. Vous pouvez vous tourner vers le chanvre des matériaux recyclables, pour une isolation de façade. Idem pour les fenêtres, les fenêtres à plusieurs vitrages permettent de retenir la chaleur du soleil qui est évidemment un système de chauffage très simple à réaliser. Pour affronter la température hivernale, le chauffage est indispensable, pour cela, les chauffages écologiques sont performants et écologiques. Vous pouvez utiliser les sources d’énergies solaires. Vous pouvez produire de l’énergie par vous-même, vous avez le choix entre les panneaux photovoltaïques sur votre toit ou bien des éoliennes au jardin.

Les habitudes écologiques

Chez vous, il est préférable de choisir les lampes à basse consommation, elles durent six mois plus longtemps que les ampoules incandescentes. Au lieu de mettre en veille tous les appareils électriques de la maison, pensez plutôt à les éteindre. Passez un moment créatif avec votre famille à partir des idées de DIY, les meubles usés et les matériels inutiles dans la maison peuvent être transformés en objets de décoration. Pratiquez la méthode zéro déchet. Le carburant est la première source de pollution dans le monde, prendre sa voiture chaque jour pour aller travailler est la chose la plus polluante. Pourquoi ne pas changer le moyen de transport ? Pour un déplacement qui ne dépasse pas le 6 km, vous pouvez prendre un vélo. On peut aussi marcher ou prendre un transport public.

Ce qu’est un bilan carbone

En termes simples, le bilan carbone d’une entreprise est une évaluation de l’ensemble des émissions de gaz à effet de serre sur une année. Elle concerne bien évidemment les entreprises, mais aussi les collectivités, les associations, les compétitions sportives et les organisations. C’est donc une manière de chiffrer l’empreinte carbone d’une entreprise pour ensuite entreprendre les actions nécessaires pour la réduire de manière efficace.

En fait, le bilan carbone est une méthode de calcul de l’émission de GES. Cependant, il existe d’autres méthodes permettant de mesurer l’empreinte carbone. En France par exemple, il y a aussi le bilan de gaz à effet de serre réglementaire qui est un dispositif obligeant les entreprises ayant plus de 500 salariés et des collectivités comptant plus de 50 000 habitants à réaliser un bilan d’émissions GES et un plan d’action visant à les réduire.

Pourquoi faire un bilan carbone ?

Il existe plusieurs raisons de faire un bilan carbone, la première est qu’il est obligatoire. Il doit être établi tous les trois ans pour les services de l’État, les collectivités territoriales et les établissements publics de plus de 250 agents. Pour les entreprises se trouvant en métropole et employant plus de 500 personnes, le bilan carbone doit être établi tous les quatre ans.

Faire un bilan carbone permet aussi à une entreprise de gérer les risques relatifs au climat auxquels elle est exposée. En effet, de plus en plus de consommateurs accordent de l’importance à l’empreinte carbone et environnementale des produits qu’ils consomment et achètent. Rien qu’en France, 61 % des consommateurs pensent à améliorer leur production et consommation afin de réduire au maximum l’émission de GES. Cette tendance est également remarquée chez les entreprises qui demandent à leurs fournisseurs de produire un bilan carbone pour leur activité.

En refusant d’établir un bilan carbone, une entreprise risque de ne plus obtenir de financement externe. En effet, les fonds d’investissement demandent aux entreprises de calculer leur empreinte carbone. D’autres poussent encore le bouchon plus loin en demandant la mise en place d’une stratégie visant à réduire les émissions de GES.

Comment établir un bilan carbone ?

Pour réaliser un bilan carbone, il faut, en amont, définir le périmètre de l’étude. En d’autres termes, une cartographie des flux d’énergie, des matières premières, des déchets et des produits générés doit être faite par l’entreprise concernée. Cette première étape est indispensable, car elle servira de base pour calculer le bilan carbone. La seconde étape est la collecte de données. Bien évidemment, le calcul du bilan carbone repose sur les données relatives à l’activité de l’entreprise.

Ces dernières devront être consolidées par la suite, vérifiées s’il n’y a pas d’incohérence ou d’erreurs. Après cela, une analyse des résultats devrait être réalisée. C’est après étude de toutes ces données et réalisation de toutes ces étapes que l’entreprise établira son plan d’action.

Une technique mal appliquée

La technique utilisée pour le reboisement reste la même depuis des dizaines d’années. Une première équipe, constituée souvent d’habitants ou de membres d’associations, creuse les trous destinés à recevoir les plants. Puis vient l’équipe des planteurs pour mettre en terre des jeunes plants aux racines enveloppées dans une motte de terre humide. Un agent du Service des Forêts encadre habituellement l’événement. Il explique comment faire avec le plastique qui enveloppe la motte de terre, comment déposer le plant et comment le recouvrir.

Le fait est que peu de participants l’entendent : ils peinent à marcher pour rejoindre le lieu, ou sont occupés à prendre des selfies.

Faut-il enlever le sachet en plastique ou simplement le déchirer ? Jusqu’où enterrer le jeune plant et remplir le trou ? Faut-il tasser vigoureusement la terre ? Autant de questions auxquelles ceux qui ont participé à des campagnes de reboisement donneront des réponses différentes.

Un suivi inexistant

Malgré tout, des plants arrivent à vivre et commencent à pousser, à la faveur des pluies de saison. L’herbe qui les entoure reverdit, les animaux viennent brouter tout autour et en écrasent quelques-uns au passage. Puis la saison change, la terre sèche et durcie, l’herbe rabougrie, les animaux circulent davantage.
Et le fléau survient : le feu. Qui l’a allumé reste sujet à polémique. Mais la question « comment protéger nos jeunes plants fragiles » est plus important. Payer pour leur suivi et leur entretien est une solution, mais cela revient trop cher.

Actuellement, l’idée de campagnes d’entretien des parcelles reboisées circule et a de plus en plus d’adeptes. Au lieu de planter gratuitement et de payer l’entretien, on réfléchit à payer la plantation et à organiser des plans d’entretien gratuit.

Pourquoi faut-il tailler la vigne ?

La vigne peut être une plante très productive à la bonne saison, mais lorsque vous la taillez, cela permet aux plantes de produire un nombre spécifique de grappes de raisins durant la saison suivante. Lors de la taille des vignes, les viticulteurs tiennent compte de certains facteurs comme le climat, le sol, l’âge et la vigueur des vignes.

De cette manière, il sera plus facile de déterminer le nombre de bourgeons à laisser sur la vigne lors de la taille manuelle. Enfin, la taille de vigne a un impact sur le rendement, la durabilité ainsi que la viabilité de la récolte.

Quel est le meilleur moment pour tailler les vignes ?

La taille de la vigne se fait généralement en saison hivernale, lorsque les vignes sont en dormance. Lors de la création d’un nouveau vignoble, il faudra tout particulièrement considérer l’élagage des jeunes vignes, en particulier au cours des trois premières années. Cette démarche est utile pour s’assurer du bon développement des vignes et de leur épanouissement. C’est également pour cette raison qu’il faudra faire le bon choix de produit vigneron.

Où faut-il tailler la vigne ?

La taille d’une vigne consiste en un maintien des sarments taillés. Ils doivent être espacés à une largeur de main le long de la branche permanente de chaque vigne. Les entreprises qui proposent un accompagnement dans la création de vignoble conseillent cet espacement pour atteindre les différents objectifs de rendement et de qualité.

Toujours selon ces experts, si on laissait plus de tiges avec bourgeons sur la vigne, il y aurait une surproduction de fruits et de feuillage, ce qui engendrera une réduction de la lumière du soleil sur les grappes. Si vous vivez dans des régions où il y a plus de soleil et des sols différents, on peut prévoir plus de grappes et des rendements plus élevés. Ainsi, il y aura moins de sarments à tailler sur les vignes.

La taille manuelle est-elle meilleure que la taille mécanique ?

La méthode de taille de vigne est un sujet qui divise les spécialistes de la vigne. De manière générale, si vous avez un grand vignoble situé sur un terrain plat, il est conseillé d’utiliser des engins de taille mécanique. Mais pour avoir du vin de qualité, il faudra avoir recours à la méthode manuelle. Cela permet de garantir un bon équilibre de la vigne qui favorise à son tour la concentration des arômes lors de l’année suivante. Pour la taille de la vigne, il est possible d’utiliser des sécateurs électriques afin de pallier aux problèmes de fatigue ou de traumatisme.

Quel est l’intérêt de cette norme de consommation ?

Le décret tertiaire est un texte de loi qui contraint les entreprises œuvrant dans le secteur tertiaire à adopter des mesures visant à économiser l’énergie. En effet, les bâtiments du secteur des services ont un rôle primordial à jouer dans la transition énergétique. Ces réglementations s’appliquent dans le cadre de la performance énergétique des bâtiments neufs qui doivent être respectueux de la réglementation thermique mise en place.

Les constructions qui sont concernées par le décret tertiaire sont celles qui sont consacrées aux activités de services ayant une superficie de plus de 100 m2. On peut citer :

• Les bâtiments publics et privés qui font office de local commercial, de bureaux, de restaurants, etc. ;
• Les bâtiments à usage mixte dont la superficie occupe plus de 100m2 ;
• Les propriétaires et occupants.

Quelles sont les finalités visées par le décret tertiaire ?

Le décret tertiaire a une visée particulière en matière d’objectifs de consommation énergétique. Pour faciliter le suivi, les autorités compétentes ont élaboré un calendrier. Chaque année, les entreprises concernées doivent effectuer une déclaration de consommation par le biais de la plateforme OPERAT. En résumé, voici les objectifs du décret tertiaire :

• Une réduction de la consommation de 40 % en 2030 en fonction d’une référence précise :
• Une réduction de 50 % en 2040 ;
• Une baisse de 60 % en 2050 ;
• Un respect d’un seuil de consommation,

Les objectifs fixés sont définis en fonction de certains facteurs tels que les contraintes techniques et architecturales du bâtiment, des changements d’activité. Mais pour bénéficier des modulations qui vous conviennent, votre dossier sera soumis à une expertise technique.

Comment atteindre vos objectifs ?

Il faut dire que les objectifs à atteindre définis dans ce décret sont quelque peu ambitieux et peuvent être irréalisables pour chacun. Mais ce processus n’est pas difficile si vous suivez les étapes suivantes :

• Amélioration de la performance énergétique des bâtiments en faisant divers travaux qui y sont liés ;

• Installation d’équipements performants, comme les énergies renouvelables : énergie solaire, etc., et mise en place de différents dispositifs de contrôle permanent ;

• Optimisation de l’exploitation des équipements par le biais d’un contrat spécifique qui définit l’atteinte des objectifs fixés ;

• Adaptation des locaux en vue de la mise en place de systèmes économes en énergie et une sensibilisation des occupants en vue d’une conduite éco responsable en milieu professionnel.

Dans la mise en œuvre du décret tertiaire dans votre entreprise, vous pouvez solliciter les services de professionnels qualifiés dans le domaine. Pour obtenir de plus amples informations, vous pouvez consulter ici. Sur ce site spécialisé, vous en saurez plus sur ce décret qui vise à réduire la consommation énergétique au sein des entreprises du tertiaire. Toutes les notions et stratégies y afférentes sont complexes pour un profane. C’est pour cette raison que les entreprises spécialisées dans le domaine proposent un accompagnement complet dans toutes les étapes du projet.

L’agriculture bio, moyen pour lutter contre le changement climatique

De nos jours, la consommation des aliments bios est devenue un impératif. Veillez alors à votre santé en adoptant de nouvelles habitudes alimentaires. Consommez moins de viande et privilégiez les recettes végétariennes riches en protéine. Ne vous contentez pas également d’acheter des fruits et légumes, aménagez votre terrain en jardin botanique ou en verger, et cultivez-en suivant le calendrier cultural. Faites aussi de l’élevage pour obtenir les œufs et les produits laitiers. En le faisant, vous contribuez en même temps à la préservation de la santé écologique de votre habitat. Vous servirez en plus de modèle aux autres gens, qui à leur tour vont encourager d’autres personnes à faire pareil, et ainsi de suite pour arriver à l’échelle mondiale. Agissez maintenant et n’attendez pas les autres pour vous décider.

La reforestation, moyen pour lutter contre le changement climatique

Dès l’école primaire, la sensibilisation des élèves à la protection de l’environnement fait partie du programme éducatif élaboré par les responsables de l’éducation de base. Les plans d’action sont bien définis, mais c’est souvent au niveau de la réalisation sur terrain que les difficultés surgissent. Vous constaterez en effet que c’est vraiment la volonté qui manque, mais pas les moyens. Soyez alors déterminé et participez activement, et sans attendre, à la reforestation pour améliorer la séquestration de carbone. Vous pouvez aussi faire valoir votre apport personnel pour la lutte contre le changement climatique, en vous engageant par exemple dans une action associative de protection de l’environnement. Vu le caractère planétaire de la menace, les organisations internationales et les organismes nationaux s’y mettent également ensemble pour atteindre les objectifs des conventions. Engagez-vous donc à préserver les forêts et collaborer avec les acteurs environnementaux pour sauver la planète.

A qui est destiné ce type d’alarme ?

L’utilisation de l’alarme incendie est requise, car elle fait partie des mesures de protection collective. En effet, elle est recommandée pour être le dispositif de sécurité incendie adapté aux ERP ou établissements recevant du public.

Les établissements concernés par l’alarme incendie de type 4 sont par exemple : les salles de loisirs comme les salles de jeux ou de sport, les bibliothèques, les restaurants, les églises et musées selon la capacité d’accueil et la configuration du bâtiment. L’alarme incendie de type 4 est facile d’installation pour les ERP, mais requiert tout de même un minimum d’entretien et des essais annuels.

Les différents modèles d’alarme incendie type 4

L’alarme incendie type 4 se décline sous trois modèles. L’alarme type 4 filaire est le modèle historique. Elle fonctionne grâce à une connexion filaire entre les différents équipements, avec le courant électrique. Elle nécessite au minimum une maintenance annuelle, comme toutes les alarmes incendie.

L’alarme incendie type 4 autonome se compose principalement d’un dispositif à pile avec un déclencheur manuel et une alarme sonore. L’un de ses avantages réside dans le fait qu’elle est facile à installer et peut être connectée à un second système d’alarme.

L’alarme incendie type 4 radio est privilégiée pour les lieux où il est difficile d’installer un réseau de câblage, les lieux où l’infrastructure ne doivent pas être modifier ou tout simplement les lieux souhaitant s’équiper d’une alarme type 4 rapide / simple à installer et fiable. Ce type d’alarme a une portée de 100 mètres en intérieur, qui peut être prolongée. Les équipements sont reliés entre eux par la technologie innovante radio et sont respectueux des normes NF S 61-936 et CE.

Les meubles synthétiques qui vous menacent quotidiennement

L’environnement intérieur se retrouve pollué, car il est contaminé à la fois par les polluants extérieurs, et surtout par vos meubles synthétiques et par l’utilisation des produits d’entretien.
Les composés organiques volatils sont les polluants, ils sont responsables de la pollution domestique affectant l’air, et votre santé.
Ceux-ci se trouvent partout dans les armoires de cuisine, vernis, peinture, matelas, sommiers, etc. On trouve ces polluants partout, notamment dans les meubles synthétiques ou reconstitués, les matériaux de construction, les produits de nettoyage, les textiles, les isolants. C’est à cause de ces polluants que l’air intérieur d’une maison se trouve plus pollué que l’air extérieur.

Quels sont les risques pour la santé ?

Les matières synthétiques sont polluantes, elles sont néfastes et nocives pour la santé. Les polluants affectent l’eau, l’air.

Cette pollution peut causer des dangers et des effets indésirables, comme des problèmes respiratoires, ou d’allergies, asthmes ou même plus grave comme le cancer. L’exposition à la pollution peut entraîner divers symptômes : maux de tête, allergies, etc.

A long terme les polluants peuvent développer des cancers, des maladies cardiovasculaires qui pourraient même atteindre le développement neurologique de l’enfant.

Quelles sont les précautions à prendre pour réduire les polluants ?

Pour réduire les polluants et ainsi contribuer à la protection de l’environnement et de votre bien-être, prenez les dispositions suivantes :

Privilégiez l’utilisation des meubles en bois ou écologiques, choisissez des produits et équipements plus sains pour votre intérieur.

Aérez régulièrement votre chambre

Minimisez l’utilisation des produits ménagers et les parfums d’intérieur, préférez les produits certifiés comme protecteurs de l’environnement.

Faites bien attention à l’utilisation des matériaux de construction et produits de bricolage, il vaut mieux choisir les produits contenant moins de polluants.

Comment faire de votre maison un environnement plus sain ?

Choisissez les bons meubles pour votre intérieur. Facile à dire, mais difficile à accomplir. Comment faire le bon choix ?

Optez pour des bois naturels. Choisissez bien votre literie, mais aussi votre matelas et oreiller, car sachez que vous passez la majorité de votre temps dans votre chambre. La meilleure solution qu’on puisse vous présenter est d’opter pour les produits naturels de la marque Kipli. Kipli est une marque de mobilier de literie fabriqué en Europe. Le matelas en latex naturel numéro 1 en France. L’innovation de cette marque porte sur leur matelas qui est le produit phare de leur marque. Sa matière est garantie composée à 97% de produit naturel et 3% de latex naturel de l’hévéa. Double couche de latex 100% naturel. La qualité du bois massif, les matériaux naturels présents la différencie de la literie conventionnelle, avec une housse de matelas conçu en coton biologique antiacariens et antibactériens. La durée de vie d’un produit Kipli est deux fois supérieure à un produit synthétique conventionnel. Rapport caractéristique-prix, vous ne serez pas déçu.

Un rafraîchisseur d’air écologique

Si votre objectif est de simplement rafraîchir l’air pendant une période de canicule, alors nul besoin d’investir dans un climatiseur. Le rafraîchisseur d’air est spécialement conçu pour baisser la température de l’air entrant dans votre atelier. Il fonctionne à l’aide d’un tampon de cellulose maintenu humide à l’aide d’eau.

L’air chaud entrant en contact avec cette membrane humide va créer une légère évaporation de l’eau, ce qui va rafraîchir l’air entrant. Il ne fait dans ce cas appel à aucun fluide frigorifique, ce qui lui permet d’être particulièrement économique. Il faut également moins de 100 W pour rafraîchir une pièce de moins de 30 m². Durant les saisons froides, cet équipement ne vous sera cependant d’aucune utilité puisqu’il risque d’augmenter l’humidité de l’air dans une pièce.

Installer un climatiseur

Le climatiseur est la solution classique pour rafraîchir l’air dans un atelier. Il fonctionne à l’aide d’un fluide frigorigène qui absorbe la chaleur contenue dans l’air pour l’évacuer à l’extérieur. Sur les modèles réversibles, il est possible d’inverser le fonctionnement du climatiseur et de capter les calories contenues dans l’air extérieur pour chauffer une pièce. Cette installation peut par conséquent avoir son utilité, que ce soit en hiver ou en été.

Il est en plus possible de régler son fonctionnement afin d’ajuster le niveau de fraîcheur d’une pièce à des niveaux précis. Actuellement, il n’existe presque plus aucun modèle de climatiseur non réversible. Un climatiseur monobloc réversible de faible puissance vous coûtera généralement entre 500 et 1 000 €. Ce type d’équipement a l’avantage de réduire votre consommation en énergie. Ce qui est bon pour l’environnement et pour votre portefeuille.

Un équipement multisplit performant quant à lui vous coûtera quant à lui, jusqu’à 7 000 €. Afin de connaître la puissance de climatisation qu’il vous faut, vous pouvez demander un bilan thermique à un professionnel. Vous pouvez ainsi économiser et éviter d’acheter un modèle qui ne vous sera peut être pas utile.

Une VMC à double flux avec un puits canadien

Le rôle premier d’une VMC est de s’assurer que l’air à l’intérieur d’un espace reste sain. Elle évite l’accumulation des particules nocives et l’humidité en rejetant l’air capté à l’intérieur tout en y insufflant de l’air frais. L’installation d’une VMC est obligatoire dans tout espace, mais chacun est libre d’installer le type de VMC qui répond à ses besoins. Si vous souhaitez profiter de l’air frais pendant les périodes de canicule, il est par exemple possible d’opter pour une VMC à double flux avec un puits canadien.

Le puits canadien est un réseau de conduits passant sous terre. L’air extérieur capté pendant les périodes chaudes va refroidir en passant dans ces conduits avant d’être insufflé à l’intérieur. Même si la mise en place de ce système n’est pas simple, il se révèle plus économique sur le long terme. Une VMC à double flux coûte jusqu’à 9 000 €, installation comprise. S’il s’agit d’une VMC à double flux thermodynamique, le coût d’achat et de pose peut dépasser 10 000 €.

Des petits riens qui comptent

Lorsque vous vous brossez les dents ou lorsque vos enfants le font, ayez pour habitude de fermer le robinet pour ne pas laisser couler l’eau. C’est peut-être une question de quelques secondes ou de quelques minutes, mais si on totalise les litres d’eau perdus par mois ou par an, c’est énorme. Autre habitude à avoir, ne pas ouvrir à fond le robinet en se lavant les dents ou les mains. Maintenant, si vos enfants aiment dessiner, dites-leur de se servir des deux côtés de la feuille et non pas seulement d’une face. Utiliser moins de papier, c’est abattre moins d’arbres et donc préserver les forêts. Apprenez-leur également à ne pas gaspiller le papier toilette juste pour le plaisir de le dérouler.

Des gestes à inculquer dès le plus jeune âge

Ne vous dites pas que vos enfants sont trop petits pour comprendre ces histoire d’environnement. Ils sont tout à fait capables de vous imiter et de saisir que tel ou tel geste est bon et tel autre moins bon. Par exemple, ne tardez pas à leur inculquer le tri des déchets. La brique de jus de fruits et la boîte de céréales dans le bac « papier et carton » et le pot de yaourt dans celui des « plastiques ». Une fois qu’ils vous voient faire régulièrement et que vous le leur rappeliez jour après jour, ça rentrera dans leur tête et ils s’y mettront.